El río Águeda, frontera entre España y Portugal a lo largo de 40 kilomètres, analyse sert chercheurs de Castilla y León et le pays de langue portugaise afin d'évaluer les risques environnementaux des bassins transfrontaliers, à réaliser une gestion de la même, dans lequel “il n'y a pas de frontières nationales”.
Ce projet de coopération transfrontalière Espagne-Portugal (Poctep), aussi connu comme Agatha projet, supone una iniciativa piloto promovida por la Comisión Europea, qui est co-financé par 75 pour cent par des fonds Feder.
Pour sa part, la 25 pour cent restants d'un budget d'environ 512.000 euros, est fournie par les organismes participants, el Instituto de Recursos Naturales y Agrobiología de Salamanca (Irnasa), vinculado al Consejo Superior de Investigaciones Científicas (Cesic); il Polytechnic Institute de Castelo Branco (Portugal), et de l'Université européenne de Miguel de Cervantes (UEMC) Valladolid, au moment où le coordinateur du projet.
Le projet analyse, donc, la 176 kilómetros de longitud de este río que nace en el municipio salmantino de Navasfrías y vierte sus aguas al Duero en la localidad portuguesa de Barca d’Alva tras hacer frontera durante 40 kilomètres de la province espagnole de Salamanque et la Guarda portugais.
Les particularités de ce type de marques de bassin “tout déversement en Espagne affectant Portugal” vice versa, comme expliqué à Europa Press l'un des participants au projet, Professeur Roberto Martínez-Joy UEMC.